Les montagnes russes d'Olivier Jean
Simon Drouin - La Presse - 17 août 2009
Olivier Jean jasait gaiement en récupérant sur un vélo stationnaire, samedi soir, à l'ombre des gradins du Pacific Coliseum de Vancouver.
Hilares, deux journalistes locaux apprenaient à connaître ce grand patineur un peu excentrique. L'athlète de 25 ans défilait sa sélection de films appelés à le motiver durant ses temps libres (Rambo, Bruce Lee, Steven Seagal...). Parlait de ses longs dreads qu'il laisse pousser depuis l'âge de 16 ans. Devisait sur sa savante rotation de t-shirts en compétition.
Pour aujourd'hui, avant-dernier jour des sélections olympiques, Jean hésitait encore entre un t-shirt de Bruce Lee et d'Hailé Sélassié 1er, le dieu incarné du mouvement rasta. Plus tôt, ce fut Rambo et Flash, le super-héros le plus rapide, lui a certifié un vendeur de BD du centre-ville. Samedi, le viril visage de Chuck Norris ornait son t-shirt noir, avec l'inscription: «Walk and kill».
«C'est ce que je fais: je marche toujours lentement et je relaxe. Et quand je suis sur la glace, je suis là pour tuer...» a expliqué Jean, sourire en coin.Lire plus »»»
Et ceci:
Jean adds levity to Canadian short track speedskating team.
Gary Kingston, Canwest News ServiceAugust 16, 2009
t's easy to spot short track speedskater Olivier Jean.
At six-foot-one, he's got a few inches on most of his competitors and that height is enhanced by his cock of the walk presence and dreadlocks that he piles high onto his head and holds in place with a headband fashioned from a Maple Leaf-motif scarf a friend brought back from the Beijing Olympics.
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