vendredi 27 novembre 2009

Vers Vancouver pour guider les patineurs de vitesse


On a procédé au dévoilement de trois inuksuks d'aluminium fabriqués par des élèves du Centre de formation professionnelle Qualitech.
Photo: Olivier Croteau



Isabelle Légaré - Le Nouvelliste - 27 novembre 2009
Il a beaucoup été question de fierté, de dépassement de soi et d'excellence, hier matin, au Centre de formation professionnelle Qualitech. On a procédé en grandes pompes au dévoilement de trois inuksuks d'aluminium dont le plus colossal prendra, la semaine prochaine, la direction de Vancouver où se tiendront les Jeux olympiques d'hiver 2010.
C'est à la demande de Patinage de vitesse Canada (PVC) que les gens de Qualitech ont été invités à relever un tel défi. Bien avant de devenir le logo officiel des JO de Vancouver, l'inuksuk était l'emblème de l'équipe de patinage. L'organisation souhaitait exploiter la symbolique de cet empilement de pierres en forme humaine qui, dans le Grand Nord, sert de points de repère.
Directeur général de Patinage de vitesse Canada, Jean Dupré a annoncé qu'après la tenue des Jeux d'hiver 2010, l'imposant inuksuk sera mis en vente par le biais d'une enchère qui suscite déjà l'intérêt, a-t-il dit avant d'ajouter que la valeur de la structure fabriquée à Trois-Rivières est certainement de l'ordre de 250 000 $.

« Croire en ses rêves »

L'Avantage - Par Pierre Morel - 26 novembre 2009
De passage à l’école Polyvalente de Matane, jeudi, pour y prononcer une conférence en lien avec le passage de la flamme olympique et assurer la promotion du programme d’activité physique, SOGO-Active, l’ex-olympienne Isabelle Charest, native de Rimouski, a livré un témoignage d’espoir aux centaines d’élèves massés dans l’auditorium.

Isabelle Charest a séduit les élèves de l’école Polyvalente de Matane jeudi, en leur donnant le goût de se dépasser. (photo Pierre Morel)


« Le rêve est accessible à tous. J’y ai cru et j’ai participé trois fois aux Olympiques », a souligné l’ancienne patineuse de vitesse sur courte-piste et lauréate de trois médailles des Jeux de 1994, 1998 et de 2002.

U of G history prof on the Olympics and the Canadian identity crisis

"Because the Olympics are such an international forum, it's a way of showing excellence on an international scale [it's] almost like Canada breaking out of its little bubble of self-doubt, of constantly being in the American shadows." Matthew Hayday University of Guelph History Professor 


Cara Campbell - The Ontarion - University of Guelph's Independent Newspaper

Canada seems to be having a bit of an identity crisis. As a country that was founded as a colony for France and England, four hundred years later we appear to be having a tough time trying to figure out our national personality.

"Sports figures, for better or for worse, have a lot of high public visibility," said Hayday.
 According to Hayday, Canadians become "hyper-patriotic" when they see a fellow countryman, or woman, standing on top of the podium, and he sees this as Canada's desire to have international recognition for our unique identity.

The recent controversy surrounding the language of signs being posted at Olympic venues in Vancouver does little to encourage the thought that Canadians have a strong sense of unity from sea to sea. Many affiliated with the Olympics claim that there is no need for the signs to be posted in French as well as English, despite both being official languages.

"I think you're going to see in speed skating-almost all the short track speed skaters are Quebeckers, and Canadians go nuts," said Hayday.
"They don't care about the language divide then, but if you try to put a bilingual sign in front of the arena where they will actually be competing, that triggers divisions among Canadians."